Ci-gisent les droits de l’enfant

Hier, mardi 23 avril, l’Assemblée nationale a adopté la loi de dénaturation du mariage.
Notre civilisation, fondée sur le droit naturel des enfants à avoir un père et une mère, bascule vers l’inconnu. Cet inconnu se concrétise d’abord par l’admission d’un droit à l’enfant, inique et contraire à l’ordre naturel.
Pis, cette page législative précipite notre droit vers de prochains désordres, hallucinants mais inéluctables : la procréation médicalement assistée pour les couples lesbiens et, par respect du sacro-saint principe d’égalité, la gestation pour autrui.

D’autres l’ont répété avant moi, l’adoption de cette loi fait sauter tous les garde-fous protégeant notre belle jeunesse de France. Bientôt, des femmes loueront leur ventre au plus offrant et abandonneront le petit être qui aura passé neuf mois dans leurs entrailles.

Palais Bourbon, 23 avril 2013 : ci-gisent les droits de l’enfant.

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