Le combat exige des chefs

Le combat est en marche. Politique, médiatique, spirituel, viril parfois... Nos ennemis sont prêts à tout pour nous intimider, comme l’illustre l’agression des extremistes d’Act Up contre les locaux de la Fondation Lejeune.

Une guerre culturelle, sans merci, est en train d’être livrée. La culture de mort tente d’étouffer la culture de vie ; l’idéologie de faire taire le bon sens.

Des forces vives existent. Les derniers mois l’ont montré. Mais... Comment gagner sans stratégie ?

Surtout, comment combattre sans chefs ? Des prétendants, il y en a. Mais combien sont à la hauteur ? Combien ont les épaules pour supporter cette lutte qui s’annonce âpre, afin de faire triompher la Vérité ?

Loin de nous l’idée de décourager ceux qui se sentent l’âme d’un chef. Au contraire, il nous en faut ! Des chefs forts, voulus par le peuple qui se lève. Des chefs légitimes et nourris à la fois de la sagesse du saint et de l’ardeur du guerrier. Un ou plusieurs chefs, peu importe, tant qu’ils ne se mettent pas des bâtons dans les roues au détriment du bien commun. Car ce qui caractérise le chef, outre son talent et son charisme, c’est son désintéressement et son sens du sacrifice.

Que ces hommes et femmes se remémorent ces paroles que les scouts connaissent bien et, ainsi inspirés, fassent en sorte que notre noble cause triomphe ici-bas.

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